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Le roman du 19-eme siecle et la condition de la femme

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Le roman du 19-eme siecle et la condition de la femme



1.1 Le roman français avant le naturalisme

Le roman est un genre littéraire aux contours flous caractérisé pour l'essentiel par une narration fictionnelle plus ou moins longue, ce qui le distingue de la nouvelle

Le roman, très vite écrit en prose, dès la fin du XIIe siècle, se définit aussi par sa destination à la lecture individuelle, à la différence du conte ou de l'épopée qui relèvent à la base de la transmission orale. Le ressort fondamental du roman est alors la curiosité du lecteur pour les personnages et pour les péripéties, à quoi s'ajoutera plus tard l'intérêt pour un art d'écrire.

De manière synthétique et générale, on peut dire que le texte romanesque est un récit de taille très variable mais assez long, aujourd'hui en prose, qui a pour objet la relation de situations et de faits présentés comme relevant de l'invention même si l'auteur recherche souvent un effet de réel, ce qui le distingue du simple récit-transcription (biographie, autobiographie, témoignage ...) mais aussi du conte qui relève du merveilleux. La diversité des tonalités littéraires présentes dans les romans est d'ailleurs totale.

Le roman appartenant au genre narratif, on peut rendre compte de l'enchaînement plus ou moins complexe des événements d'un roman en établissant le schéma narratif de l'ouvre et définir le principe général de l'action par le schéma actanciel qui expose les différents rôles présents dans le récit. On peut également définir le statut du narrateur (ou des narrateurs), distinct(s) de l'auteur, ainsi que les points de vue narratifs choisis et la structure chronologique de l'ouvre. Genre polymorphe, le roman exploite aussi bien les différents discours (direct, indirect, indirect libre), la description (cadre spatio-temporel - portraits) que le récit proprement dit (péripéties), le commentaire ou l'expression poétique.

À la fin du XVIII e, le roman est parvenu à sa maturité. Sa forme et son esthétique ne changeront plus beaucoup jusqu'au XXe siècle. Le forma 353d33d t des romans, le découpage en chapitres, l'utilisation du passé de narration et d'un narrateur omniscient forment un socle commun peu remis en question. Les descriptions et la psychologie des personnages deviennent primordiales.

Au début du XIXe siècle, le genre romanesque n'a pas de poétique spécifique : c'est encore un genre sans règles précises. Cette situation forme un constraste très fort avec la fin du XIXe siècle où le genre romanesque est dominant.

Plus peut-être que de la poésie, le XIXe siècle est celui du roman, genre jusqu'alors assez mineur.

Le roman naturaliste se caractérise par la vraisemblance des intrigues, souvent inspirées de faits réels, ainsi que par la richesse des descriptions et de la psychologie des personnages. On y rencontre des personnages appartenant à toutes les classes de la société et à plusieurs générations successives. Cette volonté de construire un monde romanesque à la fois cohérent et complet voit son aboutissement dans "La Comédie humaine" d'Honoré de Balzac. Ce projet aura une influence considérable sur l'histoire du roman notamment dans la première moitié du XXe siècle.

Outre Balzac, l'école réaliste/naturaliste française compte également Flaubert et Maupassant. Notons toutefois que ces auteurs ne se sont pas cantonnés au style réaliste (littérature fantastique pour Balzac et Maupassant, symbolisme pour Flaubert). À la fin du XIXe, le réalisme évolue d'une part vers le naturalisme objectif d'un Zola et d'autre part vers le roman psychologique.

Le personnage Romanesque/naturaliste s'inscrit dans un genre étroitement lié à l'évolution des sociétés, notamment à leur évolution économique. Lucien Goldmann a pu ainsi écrire que « la forme romanesque est la transposition sur le plan littéraire de la vie quotidienne dans la société individualiste née de la production pour le marché.» (Pour une sociologie du roman). C'est pourquoi le personage realiste/naturaliste est particulièrement fourmillant au XIXème siècle, au moment où les valeurs d'usage (les valeurs authentiques) deviennent progressivement des valeurs d'échange. Il va en effet se définir essentiellement dans ses rapports avec un groupe, une idéologie, et fournir des attitudes exemplaires.

Ainsi si le roman de l'ère romantique (Stendhal, Balzac, Hugo) met surtout en scène des personnages dont l'idéalisme se heurte au cynisme des valeurs sociales, la production romanesque de la seconde moitié du siècle manifeste une intention réaliste : dès lors, le héros décalé devient l'objet d'une entreprise de dérision (Flaubert) tandis que de nouvelles figures incarnent les valeurs montantes de la bourgeoisie d'affaires ou du proletariat(Zola,Maupassant)

C'est pourquoi, au XIXème siècle, le personnage de roman, cristallisant des postulations typiques de l'individu dans la société marchande, devient un mythe. Le mot, bien sûr, ne désigne pas ici une figure nimbée d'attributs surnaturels ni même héroïques, mais un personnage capable de signifier une attitude, une aspiration représentatives d'un groupe tout entier à un moment de son histoire. Ces mythes peuvent être dégradés sans doute, et exprimer même une certaine médiocrité, mais c'est une des caractéristiques de la création romanesque, par ses procédés de condensation, de faire apparaître des archétypes particulièrement fertiles dans l'imaginaire social.

« Posséder le mécanisme des phénomènes chez l'homme, montrer les rouages des manifestations intellectuelles et sensuelles telles que la physiologie nous les expliquera, sous les influences de l'hérédité et des circonstances ambiantes, puis montrer l'homme vivant dans le milieu social qu'il a produit lui-même, qu'il modifie tous les jours, et au sein duquel il éprouve à son tour une transformation continue.»

Ces lignes du "Roman experimental" (1880) enferment toute la doctrine naturaliste.

Zola n'a de cesse de le répéter : " le roman expérimental est une conséquence de l'évolution scientifique du siècle ; il continue et complète la physiologie, qui elle-même s'appuie sur la chimie et la physique; il substitue à l'étude de l'homme abstrait, de l'homme métaphysique, l'étude de l'homme naturel, soumis aux lois physico-chimiques et déterminé par les influences du milieu ; il est en un mot la littérature de notre âge scientifique, comme la littérature classique et romantique a correspondu à un âge de scholastique et de théologie."

1.2 La condition de la femme dans le 19-eme siecle.Approche sociologique

Le 19e a été un siècle sombre et triste, austère et surtout contraignant pour les femmes. On aurait cependant tort de croire que cette époque est seulement le temps d'une longue domination, d'une absolue soumission des femmes, car ce siècle signe la naissance du féminisme, ce qui implique des changements structurels importants, comme un travail salarié, l'autonomie de l'individu civil, le droit à l'instruction, ou également l'entrée des femmes dans la politique. Ce siècle est le moment historique où la perspective de la vie des femmes change.

La modernité est une chance pour les femmes, les conséquences des changements économiques et politiques, sociaux et culturels propres au 19e leur sont favorables. En effet plusieurs éléments sont déterminants:

a/ L'apparition d'une histoire de l'humanité suppose que les femmes aussi ont une histoire, que leur condition de compagne de l'homme et de reproductrice de l'espèce est moins immuable qu'il n'y paraît.

b/ La révolution industrielle, malgré la violence avec laquelle la femme y est parfois traitées, améliore leur condition dans le sens qu'elle est prise comme étant un être à part entière. L'individu féminin devient semblable à l'individu masculin, au travailleur et au citoyen, et pourra rompre les liens de dépendance économique et symbolique qui l'attachent au père et au mari. Mais n'oublions pas que la femme ne peut toujours pas disposer de son salaire librement, et qu'il est bien inférieur à celui de l'homme. Le travail des femmes est autant un lieu d'une surexploitation que d'une émancipation, la société politique un espace d'exclusion puis de reconnaissance

Au XIXe siècle, l'industrialisation mobilise une main-d'oeuvre abondante le nombre toujours plus important de femmes qui vont travailler dans les entreprises, les ateliers, les

charbonnages, les verreries,. va modifier la vision quelque peu édulcorée du travail féminin.

L'avènement de la mécanisation, la division des tâches de plus en plus poussée, la repetition du geste permettent l'embauche d'une main-d'oeuvre non qualifiée, en l'occurrence les

femmes et les enfants, qui remplace avantageusement du point de vue des salaires les travailleurs masculins.

La plupart des activités professionnelles féminines sont mal payées (en moyenne le salaire d'une femmes équivaut à la moitié du salaire d'un homme). Le salaire féminin ne permet

cependant pas de vivre décemment. Subissant, comme les travailleurs masculins, des journées interminables, des conditions de vie pénibles, les travailleuses sont condamnées à travailler

pour un salaire dit «d'appoint» pourtant souvent indispensable pour survivre.

Et alors que les femmes sont empêchées d'exercer leurs droits politiques au nom de leur «incapacité» et de leur «fragilité liée à leur sexe», les industriels n'hésitent pas à les employer

dans des tâches pénibles et lourdes au nom de leur absence de qualification. Réputées plus dociles que les hommes, le patronat les s recherches également pour leur habilité, leur souplesse

et leur endurance, « qualités naturelles » de la femme.

L'exploitation outrancière du travail féminin, que ce soit dans les mines, (Catherine Maheu[1]),dans les usines ou à

domicile, est un fait attesté par de nombreux contemporains, médecins ou philanthropes. La main-d'oeuvre féminine est particulièrement utilisée dans les secteurs tels que la filature, le

tissage, etc. et le discours patronal se plaît à évoquer que le travail réservé aux femmes est un travail léger ,proportionné à leurs forces, que les femmes ne sont employées qu'à des

travaux faciles qu'elles peuvent faire sans danger» ou que le travail des femmes n'est pas exagéré.

Les femmes représentent également une main d'oeuvre importante dans le secteur du travail à domicile où, par exemple, les dentellières travaillent dans des chambres basses,

étroites et humides, mal aérées, dans des rues où les rayons du soleil ne pénètrent jamais, le tronc courbé sur leur tabouret, leurs yeux fixant toujours des objets de petit volume, gagnant peu et plongées souvent dans la misère, elles ne tardent pas à éprouver l'influence débilitante de telles conditions (la blanchisseuse Gervaise,Virginie)[2]

Ce secteur suscite cependant moins de débats passionnés puisque les femmes sont présentes dans le foyer et que personne ne songe encore à en dénoncer les conditions déplorables de vie et de travail.

Plusieurs femmes essaient de se défaire de leur image de départ, et de leur condition; les unes cultivent leur esprit, les autres voyagent, dans un esprit missionaire ou par goût d'aventure, d'autres encore partent travailler en ville, ou descendent dans les rues pour crier les injustices, celles faites à leur sexe, à leur classe, à l'esclavage aussi, et à leur corps. Nombres d'hommes ont usé de la femme, de la petite ouvrière(Gervaise), se retrouvant enceinte à la prostituée tuberculeuse.(Nana)

Au XIX ème siècle en France, en Angleterre et en Belgique, les ouvriers sont très mal payés, les conditions de travail sont très dures, certains gémissent sous le poids de l'exploitation sans cesse accrue. Privés d'argent, affamés, ils manquent de logements, et vivent dans la promiscuité. Corruption et vices règnent, l'alcoolisme est aussi un de leurs fardeaux. C'est une condition misérable qui est celle de l'ouvrier dans ce 19ème siècle.

Mais c'est aussi le siècle de la diffusion des idées de progrès social qui feront de l'ouvrier prolétaire un de leurs symboles les plus forts. Quant à l'ouvrière ,il faut lui ajouter ,à la charge de ses mêmes malheurs, une position bien inférieure à celle de l'homme qui se traduit notamment par une rémunération moindre et une soumission totale à l'homme au point de vue juridique due au code napoléon misogyne et patriarcal à bien des égards.

Elle peut prendre la forme d'une activité d'appoint, qu'on appelle à l'époque le cinquième quart de la journée. Elle permet ainsi à l'ouvrière d'arrondir son salaire et devient une activité de secours quand les revenus de l'ouvrière ne lui permettent plus de manger à sa faim ou d'élever correctement ses enfants.

La prostitution peut être une activité qui permet de survivre en cas crises industriels ou grèves. On observe d'ailleurs durant ses crises une multiplication par deux du nombre de prostituées dans les bassins industriels. Une forme particulière d'exploitation sexuelle du corps de la femme est aussi le droit de cuissage exigés par certains patrons, petits chefs ou fils de patrons sous la menace de licenciement, de coups ou grâce à la promesse d'une meilleure situation financière. Si elle n'est pas à proprement parlé une forme de prostitution, elle se rapproche de la prostitution car le rapport de force financier y joue un rôle important.

Ces formes de prostitutions sont toutes bien singulières pour l'époque. En effet au 19 siècle c'est une politique réglementariste qui est en vigueur face à la prostitution. Or la prostitution occasionnelle est clandestine, elle échappe donc aux agents des murs qui contrôlent l'hygiène des prostituées et la conformité des maisons de soutien. Cette prostitution est d'ailleurs plus gênante aux yeux des pouvoirs publics car elle s'exerce dans la rue ou dans les cafés à la vue de tous et est incontrôlable. Parfois cette prostitution se meut en activité principale, car pour une jeune fille de l'époque, il est souvent plus rentable de vendre ses charmes que de travailler à l'usine.

Dans ce 19ème siècle, la prostituée est vraiment considérée comme le dernier échelon de l'échelle sociale, la honte absolue pour la femme. Ce n'est donc qu'en dernier recours que les filles consentent à se prostituer, quand vraiment aucune n'autre solution ne peut être envisage.

Comme pour les pauvres au moyen-âge, la distinction est faite au 19ème siècle entre la bonne et la mauvaise prostituée. Celle qui se prostitue pour manger et qui est dans une misère telle qu'elle n'a plus d'autres choix, est considérée comme la bonne prostituée. Il faut alors l'aider à sortir de la prostitution. La prostituée occasionnelle en fait partie car les raisons de cette prostitution sont bien souvent économiques. Mais on considère au 19ème siècle qu'il existe aussi une mauvaise prostituée, fille sans morale qui se prostitue par choix et se complaît tout à fait dans la prostitution. Il s'agit plus ici de la courtisane ou de la prostituée de bordel.

La prostituée est un problème pour le siècle du triomphe de la bourgeoisie. Cette femme représente le vice, le vice ambulant. Elle véhicule le mal, en général, et la syphilis, en particulier. Image de la paresse, de l'embonpoint, de l'alcoolisme et même du tribadisme, image de la lascivité, de la débauche, du désordre, la prostituée, aux yeux de cette société, représente un danger, comme en témoigne le tableau de Degas intitulé "La Fête de la patronne". Datée de 1876, et exposée au musée Picasso à Paris, cette toile est une représentation-charge des filles des maisons de tolérance. Avachies, vautrées, difformes, elles forment une masse autour de la taulière, seul personnage habillé de la scène. Le pastel jaune du mur du fond est criard ; la couleur, au lieu de distinguer les corps des filles, renforce l'effet caricatural de forme grotesque et presque inquiétante. Le heurt des couleurs primaires - le jaune du mur du fond, le bleu des bas, seul vêtement des filles, et le rouge de la moquette - fait violence et la présence en noir de la patronne au centre du tableau fait contraste avec les corps blancs des six filles dénudées qui l'entourent et envahissent l'espace de la toile.

C'est un des paradoxes du XIXe siècle : si ce siècle cherche à cacher la prostituée, en lui interdisant de pratiquer en dehors de lieux clos, selon l'article 2 de la loi de 1829, il est aussi l'âge d'or de la représentation de la fille publique dans les arts et dans les lettres ; et nombreuses sont, également, les études et enquêtes sociales qui la prennent pour objet. La prostituée doit être recluse, mais la prostituée fascine. Elle devient un motif littéraire et pictural, un sujet pour celui que Baudelaire nomme « Le peintre de la vie moderne "[3]

Le XIXe siècle n'interdit donc pas la prostitution, mais il veut qu'elle soit confinée dans certains lieux, et dans des lieux clos. Cependant, cette loi est débordée par la réalité des faits et paradoxalement, plus le XIXe siècle cherche à cacher, plus la prostitution se fait voir, déborde du cadre qui lui est assigné.

Dans le domaine de la prostitution, les signes abondent, à certains égards on pourrait en parler comme d'un autre empire des signes. Mais ces signes ne sont pas toujours discriminants. Ils n'ont pas tous pour fonction de désigner l'infamie, mieux ils peuvent servir d'enseignes.

Pour les filles clandestines du XIXe siècle, l'absence de signes distinctifs est à certains égards positive car bien souvent elles ne sont qu'occasionnelles et exercent un autre métier. Elles pratiquent la prostitution quand le besoin s'en fait sentir. C'est le cas de Nana[4] qui retourne faire le trottoir quand la Tricon, entremetteuse professionnelle, n'a pas besoin de ses services. Mais Nana, comme bien des prostituées, n'est pas une marcheuse à temps plein. Les statistiques établies par Parent-Duchâtelet attestent que les filles inscrites sur les registres de la police, indiquent une autre profession. Elles se déclarent blanchisseuses, repasseuses, empailleuses, la plupart sont domestiques, et si certaines se font inscrire sous la profession d'actrices ou même d'institutrices, la grande majorité appartient à une classe sociale inférieure dont le degré d'instruction demeure limité.

La prostituée concentre donc en elle les flottements identitaires du XIXe siècle et les physiologies, qui visent à cerner les types sociaux et moraux, sont dépassées par cette catégorie de femmes qui s'introduit dans tous les milieux, prend des poses d'odalisque et se pare des emblèmes de la bourgeoisie.

La grisette, selon Balzac, dans "Les Parisiens comme ils sont", sait « singer la grande dame » mais « possède » aussi « toute la câline urbanité de la petite bourgeoise » et « lorsqu'elle se laisse aller à un familier abandon, elle rappelle la classe au-dessus de laquelle elle est cependant »[6].

Les repères sont dilués, il n'est pas jusqu'à la différence des sexes qui ne pâtisse de cette brèche ouverte par la prostituée : lorsque Balzac, grand observateur de ses contemporains, donne pour titre au roman où figure Esther Gobseck, "Splendeurs'"[7] et misères des courtisanes, le pluriel jette un doute sur l'identité de la courtisane dans ce texte Et, pour en faire deux, en dehors d'Esther Gobseck , il n'y a que Rubempré !

Èvoquer la prostitution au XIXe siècle, c'est bousculer un tabou et la représenter, c'est montrer l'envers du décor de cette société qui se veut policée.

Siècle très riche aux ouvres encore proches de nous, le XIXe siècle reste pour la littérature française un âge d'or de la poésie et du roman, avec de très nombreux chefs-d'ouvre qui laissent percevoir, au delà des courants littéraires qui se succèdent, des créateurs aux fortes personnalités artistiques.



Catherrine Maheu, Deuxième enfant des Maheu; herscheuse au Voreux. Devient la maîtresse de Chaval, tout en aimant Étienne Lantier. Elle se donne à celui-ci, avant de mourir, au fond de la mine inondée.

"Germinal"1884,Emile Zola

Gervaise Macquart jeune femme blanchisseuse, héroïne d'un roman des Rougon-Macquart,"L'Assomoir"(1877),d'Emile Zola.

Virginie "la Grande",soeur d'Adele,personages de "L'Assomoir"

Charles Baudelaire "Le Peintre de la Vie Moderne" , 1859

Anna,dit Nana,fille de Gervaise et Coupeau,personages principales de "L'Assomoir"(1877),Emile Zola.

LA PROSTITUTION A PARIS AU XIXEME SIECLE; écrit par PARENT-DUCHATELET ALEXANDRE, Editeur : Seuil

Collection : L'univers Historique

Date de parution : 01/10/1981

BALZAC(HONORE DE)," Splendeurs et Misères des courtisanes", Editeur : Gallimard (20 juin 1973)

Collection : Folio.

Esther,personage de" Splendeurs et misères des courtisanes" d'Honoré de Balzac

Lucien de Rubempré,jeune home,personage de"Splendeurs et misères des courtisanes" d'Honoré de Balzac


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