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"Le poids du rapport au passé communiste dans la construction identitaire"

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"Le poids du rapport au passé communiste

dans la construction identitaire"

Le cas du Parti Social Democrate Roumain

Par Alexandru Gussi



analyse du texte

Le texte d'Alexandru Gussi est en aritcle parru dans la revue "Romanian Political Science Review" vol. III, numero 3, 2003. Il a sept parties dont la dernière est une conclusion. L'article port sur le rapport entre le PSD et le PCR qui influence son identité.

Dans tous les pays ex-communiste le système partisan est formé autour du clivage entre les differentes attitudes envers le passé totalitaire. Après la chute du communisme de 1989, plusieurs partis se s 555y244f ont formé, la plus part revendicant un héritage historique des formations politiques d'entre deux guerres. Mais, le FSN, l'actuel PSD, a longtemps évité de evendiquer une tradition politique. Leur identité politique est le resultat des choix des leaders, de discours de l'interieur, mais aussi de la credibilité des messages. La structure refléte aussi l'identité du parti, le PSD est formé au tour de Ion Iliescu. Ce parti se caractérise par une constance du message qui lui donne un grand taux de crédibilité. Même s'il n'a pas une attitude critique vers le passé, même s'il n'a pas tiré une ligne très nette entre le passé et le présent il est considéré le sauveur de la nation, l'éliberateur du communisme. Mais, tout ce qu'il a fait a été de promouvoir une démocratisation trop lente, une continuité des anciennes institutions, au nom du bien national. Ainsi, comme l'auter le remarque on pourrait considerer le PSD, le parti héritié du PCR.

On ne doit pas comprendre que le PSD est un parti successeuer, il est le résultat d'un mouvement conservateur. Cette atittude peut être perçu comme une nostalgie qu'on retrouve aussi au sein du Parti Socialiste du Travail et au Parti de la Grande Roumaine qui soutiennent le PSD pendant le premier mandat quand la Roumanie se distangue par la lenteur des changements. Le discours de Ion Ilescu est marqué par le nationalisme et le refus du model occidental et refuse l'imposition des critères de performance exterieures au système. Cela montre une liaison avec la culture politique "ceausita". En plus ce n'est que tard que PSD a adopté la doctrine sociale democrate.

Le FSN revendique son légitimité en mettant l'accent sur le rôle de ses membres pendant la Revolution et sur leur capacité d'apporter la stabitité par la pacificacion qui suppose limiter les changements. Ils disent que tous les institutions centraux doivent continuer leur activité normale et Ceausescu est désigné comme le seul coupable d'avoir "offensé les ideaux socialiste" . Les autres leaders du PCR n'ont même pas été jugé que pour leurs acts de décembre 1989, certains ont été sans aucun problème intégré dans les nouveaux partis. Mais les conflicts entre anticommunistes et anciens communistes, entre conservateurs et reformistes a mené à la rupture du FSN et donne naissance au FDSN, le nouveau parti de Ion Iliescu qui emporte tout son électorat, car le discourt de droite de FSN n'etait pas vraiment crédible. Le FDSN continue de revendiquer le monopol de la compétence de gouverner, de l'experience donné par les activité pendant l'ancien régime, et de refuser le modèle des démocraties liberales. Tous ses choses son bien assumé par le parti et par son leader. Ion Iliescu propose une démocratie Originale basé sur les besoins du pays entier, sur le nationalisme et sur les anciennes institutions. Il refuse la décentralisation, la privatisation et l'ouverture des archives de l'ancienne Securitate. Il fait mème un appel d'isoler ceux qui essaient de troubler le climat politique. Le regime anterieur reste une source de discours politique. En effet dans le journal officiel du FSN, Dimineatza on peut trouver des éloges pour la compétence de l'ancienneté dans des projets économiques. A travers le temps, les dirigeants du PSD, on formulé leur projets en opposition avec l'occident.

Même si la condamnation du communisme a été faite dans de documents officielles, elle cohabitte avec des discours nostalgiques et avec le refus de condamné en vraie les abus du totalitarisme. Le PSD se preoccupe de réabiliter les anciennes institutions, valeurs et representants et les vrais dissidants sont accusés d'être les soutenants des intérêts étrangères. Ion Iliescu ne critique pas le buts du parti unique mais ses moyens. Il reste un adepte des valeurs socialistes. Il ne regrette pas son passé d'activiste. Il a toujours transformé les accusations de ses adversaires anticommuniste en sa faveur. Puis un autre attitude envers le passé a été l'oublie. On a essayé de convaincre tout le monde que le passé n'était plus relevant por l'avenir et que c'était dans l'interet de tous de l'oublier. Mais cela n'a pas empéché le parti de réabiliter l'ancienne police politique, de se rapprocer du PGR.

Le PSD a basé sa continuité, sa crédibilité et même sa légitimité sur l'idée de continuité de l'Etat et la continuité institutionnelle. Un très bon exemple de continuité est le gouverne Petre Roman formé d'anciens ministres, ces hommes controlent les modalités et le rithme des changements. Une autre preuve de continuité pourrait être le refus du FSN de définir son rapport avec le parti unique. L'attachement à la continuité juridique montre aussi la continuté des elites politiques. Aussi la constitution de 1991 est conçu pour assurer la continuité de l'Etat. L'actuel Sérvice Roumain d'Information se comporte souvent comme le fère de l'ancienne police politique. L'auteur affirme que "la justification de la continuité de l'Etat a un rôle central dans la strategie de construction identitaire de PSD et elle repose sur l'id'une constance de la définition de l'intérêt national, tel qu'il est produit par l'Etat."

Depuis l'an 2000, on peut remarquer des changements dans l'attitude de PSD. La crainte des étrangers semble avoir diminué avec l'intégration dans l'OTAN. Un autre geste surprenant est la réconciliation avec le Roi Michel. On semble accepter et admirer l'occident en voluant intégrer aussi l'Union Européenne. Mais le changement d'attitude est plustôt oportinuste car PSD continue d'empécher l'accés aux archives de la Securitate. En même temps, le parti aura une position ambigue par rapport à l'OTAN pendant la guerre de Kosovo. Le changement du discours était aussi trop brusque pour être vraiment crédible. Une autre chose contradictoire est que par la fusion avec le Parti Socialiste du Travail, le PSD veut être aussi le titulaire de la tradition du PCR, mais aussi de la sociale-démocratie qui avait été une victime du communisme. Il reussi quand même integrer l'Internationale Socialiste et pendant le mandat de 2000 il a un programme de rétablissement du rôle sociale de l'Etat.



Domnita STEFANESCU, Cinci ani din istoria Romanei. O cronologie a evenimentelor decembrie 1989- decembrie 1994, Masina de Scris, Bucuresti, 1994, p.24

Alexandru GUSSI, Romanian Political Science Riview, vol. III, no 3, Bucarest 2003, p. 719


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